Selon les explications fournies, chaque commerçant devra payer 600 francs CFA par jour. Ce montant inclut les frais d'eau et d'électricité. Mais, les vendeurs de poisson et les bouchers seront soumis à une majoration de 100 francs CFA, portant leur redevance quotidienne à 700 francs CFA. Il est à noter que pour le moment, seuls les commerçants des marchés urbains modernes de Cotonou sont concernés par cette mesure.
Les tarifs applicables aux marchés des autres communes seront précisés ultérieurement par l'ANaGeM. Dans les marchés modernes régionaux, des barèmes différents ont été établis en fonction de la fréquence d'animation des places.
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Ainsi, les marchés à animation hebdomadaire seront soumis à une redevance de 1600 francs CFA, tandis que ceux à animation périodique (tous les quatre ou cinq jours) seront facturés 1200 francs CFA. Là aussi, ces tarifs comprennent l'eau et l'électricité.
Selon les déclarations officielles, les montants perçus devraient permettre d'assurer l'entretien des infrastructures, la gestion des services d'hygiène, ainsi que la couverture des frais liés à la sécurité et aux charges courantes des marchés concernés.
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P S.
À part les tickets
19-06-25 à 12:23